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30 juillet 2010

Les vendredis du vin n°28 - Oenotourisme ? Un mot controversé !

Les Vendredis du Vin
"Oenotourisme ?"
Plusieurs points de vues intéressants

Iris nous livre dans une réponse à l'article d'Olivier Lebaron et à la contribution de Michel Smith un intéressant point de vue sur la notion d'oenotourisme.... Je me permets ici de relayer ces propos avec le lien suivant.
Deux autres intéressants point de vue sont ceux des incontournables Olif (je parle de son talent!), ici, et de Philippe Rapiteau, ici.

Sans pour autant prendre position, c'est tout de même intéressant de voir comment un mot qui sonne "pas trop mal" aux oreilles du "touriste" que je suis, déclenche pas mal de réflexions.

Quand Michel préfère utiliser "Flâneries viticoles" pour décrire son interaction avec le monde de la vigne quand il s'y ballade, j'aimerais tant le rejoindre... De tout cœur en tous les cas... mais j'ai un peu peur que ceux qui me connaissent sourient en coin en me voyant déambuler dans le vignoble... il paraît que c'est tout sauf une flânerie...

C'est sûr que tout cela peut alimenter de gros débats.... la faute probablement aussi à l'aspect tellement polymorphe du concept et de ses applications.

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Commentaires
S
Bonsoir,<br /> J'ai découvert votre site Internet sur Google par hasard, et j'ai trouvé un site Internet très attirant à parcourir.<br /> Je vous remercie beaucoup de partager tous ces articles avec nous.<br /> Continuez comme cela ;)
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P
Olif disait : La "masse" finit par tout galvauder, en fait. Que ce soit la peinture, la culture, le tourisme, l'oenotourisme ...<br /> <br /> Je suis bien d'accord avec toi, je pense que cela se ressens aussi dans mon post alsacien... Mais sommes-nous en droit de nous réserver un domaine culturel, nous , les passionnés ?<br /> Et puis, faut aussi avouer que c'est le tourisme qui a préservé l'année passée l'Alsace viticole par rapport à beaucoup d'autres régions.
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O
Le problème de l'oenotourisme, ce n'est ni l'oeno, ni le tourisme, c'est la récupération d'une activité naturelle, existant depuis bien longtemps, pour en faire un phénomène "de masse" susceptible de devenir un modèle économiquement rentable. La "masse" finit par tout galvauder, en fait. Que ce soit la peinture, la culture, le tourisme, l'oenotourisme ...
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