
A vrai dire, je n’avais pas trop envie de m’amuser, d’autant que la dégustation que je vais vous conter est arrivée le jour d’un cruel départ, d’un au revoir d’une compagne de route à nous tous. Je n’avais pas le cœur d’en remettre des tonnes avec des feintes à trois centimes, mais une petite voix ligérienne pleine de sensibilité, de joie et de passion m’a rappelé, combien le rire et le vin devaient être sacralisés ensemble. Alors, pour toi, Anne, permets-moi de là-haut d’en remettre une belle couche ici-bas.
Vendredis du Vin#64 :...
[Lire la suite]